27 septembre 2012

Un peu, beaucoup, à la folie...

Si parmi vous certains écrivent des trucs, peu importe quoi, est-ce-que vous en êtes contents ? Mon problème c'est qu'en général moi oui. J'aime ce que j'écris, je ne conçois pas la critique et  je garde un souvenir ému et fier de mes pages word... jusqu'au jour où je retombe dessus 2 ans plus tard et où je les trouve super nulles.
Une de mes premières lectrices (non pas que j'en ai eu beaucoup d'autres par la suite, mais je fais genre), dont j'ai gribouillé tout l'agenda en 3ème, m'a dit en commentaire de mon dernier post qu'elle avait retrouvé des choses écrites par moi à une époque où j'ai peur de ce que je pouvais bien raconter. Ça m'intrigue, je pense que si elle me les fait lire je vais trouver ça affigeant et totalement niais.
Cela dit l'inverse peut aussi arriver, l'autre jour j'ai relu par hasard un texte que je ne me rappelais même pas avoir écrit et j'ai été agréablement surprise. Un autre que j'avais décidé d'enterrer aux oubliettes ne m'a finalement pas semblé mériter un tel traitement. En fait le problème c'est que je dois être totalement incapable de juger ce que j'écris. J'y mets souvent une grande part de moi, ça n'aide pas. Ce que j'écris sur le moment c'est mon bébé, tant que je n'ai pas de recul c'est trop proche de moi pour supporter la critique extérieure.
Enfin sauf si elle est positive évidemment :).

23 septembre 2012

Un peu d'interactivité

Plus de 1000 pages vues !
Mon compteur a passé hier la barre des 1000 et certes j'ai désactivé sur le tard le suivi de mes propres consultations de pages (je l'aurais fait dès le début si j'avais compris qu'on pouvait le faire...) mais tout de même. Alors merci à tous ceux en dehors de moi qui ont fait grimper ce compteur.
Mais au fait, vous qui venez sur ce blog, qui êtes vous ? Pour certains je sais, mais vu les bonds du compteur ces derniers temps je pense que vous n'êtes pas les seuls. Alors visiteurs occasionnels égarés au hasard d'internet ou lecteurs récidivistes ? Amenés par Twitter, Facebook, la vie réelle ? En tout cas n'hésitez pas à me laisser des commentaires s'ils sont gentils, sinon je vais croire que je n'ai que 3 lecteurs accros qui relisent mes posts tous les soirs (et je m'inquiéterai pour eux).
Sinon que dire aujourd'hui, très bonne soirée vendredi et une journée entière dans les choux pour compenser. Mon coude a un bleu mais a désenflé. Mon Facebook se porte bien, je suis arrivée en pensant avoir mon mur et je me retrouve avec un journal, je suis presque déçue. Cela dit mur ou journal, il est toujours vide pour l'instant. J'ai plein de livres en cours et rien lu depuis un moment, des séries à rattraper tous les soirs ou presque, c'est la rentrée.
Et c'est l'heure du goûter-cake-au-citron-Picard. Faut pas se laisser abattre.

21 septembre 2012

Aaaaah ça y est. Aaaah ça y est pas.

Ben si ça y est. Je suis sur Facebook. J'ai peur d'avoir mis le doigt dans un engrenage monstrueux et chronophage.
Sinon je me suis explosé le coude contre l'angle du radiateur de la salle de bain, tout le monde s'en fiche mais c'est très douloureux alors j'extériorise. Je crois même que j'ai une bosse.

15 septembre 2012

Sexy me

Ce matin après quelques courtes heures de sommeil, un réveil lent et apathique et un petit déjeuner lent et apathique, la grande m'arrête dans le couloir. "Oh ils sont jolis maman tes yeux !" Je suis perplexe. Hier soir, une fois n'est pas coutume, je me suis maquillée et j'avoue avoir réduit au minimum syndical la séance démaquillage. Je me maquillerais bien plus souvent s'il n'était pas nécessaire de se démaquiller, soit dit en passant. C'est chiant. Surtout les yeux. Bref ce matin je ressemble à un raton laveur. Peut être que ça m'irait bien finalement les yeux charbonneux ? Mais j'ai des doutes.

10 septembre 2012

Silence radio

Donc je n'ai pas tweeté depuis 10 jours. Une éternité twitterienne. Je crois que les vacances ont été fatales à mon addiction naissante.
Sans internet pendant presque 2 semaines j'ai commencé par écrire plein de petits tweets dans un coin de ma tête les premiers jours. Ça me chatouillait de ne pas pouvoir prendre mon petit clavier tactile pour raconter des bouts de vie en 140 caractères, j'avais les doigts en ébullition. Et puis ça s'est calmé. Et en rentrant j'ai essayé de m'y remettre mais ce n'était plus comme avant. C'est triste. Ou pas. J'avais raté 15 jours de la vie de mes abonnements, moi qui lisais tout absolument tout ou presque, ne dépassant pas les 70 abonnements pour que ça reste gérable et ne pas en louper une miette. Et me remettre dans le bain là comme ça... Je me suis rendue compte que je m'en tapais un peu en fait. Je me suis presque attachée à certaines personnes, mais au fond je ne les connais pas et même sans avoir un emploi du temps de ministre ma vie réelle me suffit amplement niveau gestion. Mes vrais amis présents sur Twitter se comptent sur les doigts des 2 mains et ne tweetent pas, ils lisent mes tweets, ce qui me fait plaisir mais du coup mon Twitter manque d'interactivité. Et puis je ne sais pas, pour l'instant je n'ai plus envie. Mine de rien micro-blogger demande un gros investissement et est énormément chronophage. J'étais addict au téléchargement d'applis gratuites chaque jour, je me suis plongée dans Twitter et me suis arrêtée au chiffre honnête de 356 applications, je me suis désintoxiquée d'un coup, comme quand j'ai arrêté de sucer mon pouce parce que je m'étais cassé le bras et qu'avec ce con de plâtre je n'avais plus accès à mon pouce, et maintenant le goût a changé, et c'est peut-être pas plus mal de ne pas y revenir. Ceci dit j'y passe de temps en temps, je prends des nouvelles en quelque sorte, je souris, j'apprends des trucs, mais j'y passe moins de temps. J'ai pensé mettre ce que je mettais sur Twitter ici, mais pas sûr, on verra.
Je suis donc maintenant "clean" niveau addictions geek ? Et bien pas totalement, je papillonne depuis quelques jours sur Draw something, même pseudo comme toujours, si ça vous dit.

Sinon j'écris quelque chose... Je ne saurais pas trop en dire plus, je me sens comme en classe devant ma feuille blanche, mon brouillon plein de notes à côté de moi. Il est temps de passer à la rédaction. C'est assez grisant, le stylo en l'air, mais je n'ai pas encore plongé, je ne m'y suis pas mise sérieusement. J'aimerais atteindre 60 000 mots, j'en ai 15 000 de notes décousues et pas toutes exploitables, c'est un bon début, suffit de s'y mettre. Un jour.