27 septembre 2012

Un peu, beaucoup, à la folie...

Si parmi vous certains écrivent des trucs, peu importe quoi, est-ce-que vous en êtes contents ? Mon problème c'est qu'en général moi oui. J'aime ce que j'écris, je ne conçois pas la critique et  je garde un souvenir ému et fier de mes pages word... jusqu'au jour où je retombe dessus 2 ans plus tard et où je les trouve super nulles.
Une de mes premières lectrices (non pas que j'en ai eu beaucoup d'autres par la suite, mais je fais genre), dont j'ai gribouillé tout l'agenda en 3ème, m'a dit en commentaire de mon dernier post qu'elle avait retrouvé des choses écrites par moi à une époque où j'ai peur de ce que je pouvais bien raconter. Ça m'intrigue, je pense que si elle me les fait lire je vais trouver ça affigeant et totalement niais.
Cela dit l'inverse peut aussi arriver, l'autre jour j'ai relu par hasard un texte que je ne me rappelais même pas avoir écrit et j'ai été agréablement surprise. Un autre que j'avais décidé d'enterrer aux oubliettes ne m'a finalement pas semblé mériter un tel traitement. En fait le problème c'est que je dois être totalement incapable de juger ce que j'écris. J'y mets souvent une grande part de moi, ça n'aide pas. Ce que j'écris sur le moment c'est mon bébé, tant que je n'ai pas de recul c'est trop proche de moi pour supporter la critique extérieure.
Enfin sauf si elle est positive évidemment :).

3 commentaires:

Louve a dit…

Oui, j'écris des trucs.
Oui, je les trouve niais, mais pas forcèment au bout de deux ans... Ca vient beaucoup plus vite chez moi. xD
Ecrire, c'est forcément donner de soi, et c'est toujours dificile d'avoir du recul sur nous-même...
Mais les bonnes surprises sont d'autant plus de saveur du coup...

Titi.ec a dit…

Avant il y avait les net send... ne laissant pas de traces.
Puis il y a eu les romans écrits en stage ou en amphi (tu travaillais ou pas ?) que je vais ressortir pour voir mais je pense qu'il y aura toujours autant d'émotions dans ces mots écrits noirs sur blanc ou bleus sur blanc.
Puis les SMS.
Puis Twitter.
Et enfin, Facebook.

Tout ça accompagnant ce blog.

Bref, il faut suivre. Je suis presque un no life sur le net en ne commentant pas les twits ni le journal, feu le mur de Facebook mais je réponds par SMS car plus rapide ou en direct car plus humain.

Sinon j'écris des trucs sur le net : les histoires des mes 2 filles. C'est plus facile et des mois après, c'est toujours de grands moments de bonheur et de souvenirs, déjà.

Clemtine2 a dit…

En amphi je ne travaillais pas beaucoup je l'admets. Sauf quand ça m'interessait, mais c'était rare. En stage on va dire que je m'accordais des pauses !
Écrire les histoires des filles c'est super, ça fait des souvenirs, sinon on oublie trop vite !