14 août 2007

Plat du jour

On reste dans la rubrique cuisine ? Eh bien non. En fait je vais vous parler un peu, mais vraiment au tout petit peu, d'HP7, donc si vous avez peur de lire quoi que ce soit sur ce sujet, revenez quand vous en serez après la page 50.

Donc côté livres, en ce moment c'est "The one of which you musn't speak", et c'est assez prenant. J'aimerais bien mais je ne peux pas vous en dire grand chose. J'ai déjà commis l'erreur de répéter à quelqu'un le nombre de morts du bouquin (comptabilisées par une fan absolue) (pas moi, je n'en suis qu'à la moitié) et depuis il m'en veut terriblement. Enfin j'espère que non, mais ça faisait bien de l'écrire. Et puis ce n'est pas comme si je lui avais raconté que [Vous croyiez vraiment que j'allais vous révéler un truc là ? Suis pas une spoileuse moi, non mais. Et je n'ai même pas trouvé la couleur adéquate pour écrire ce semblant de spoileur correctement :-) !].
Bref Harry Potter c'est, en 2 mots, Harry Potterien. On retrouve tout le monde comme une grande famille et notre "joyeuse" bande vit maintenant sous un régime rappelant celui d'un certain dirigeant suicidé en 1945, pareillement avide de pouvoir et obsédé par une idée effrayante de la "pureté". Du coup Harry c'est pour les grands et les petits, mais surtout pour les grands quand même.

Et rayon musique (c'est fatigant les transitions, on peut s'en passer), ma playlist m'abreuve des Rascal Flatts. Ils ont un nom bizarre et c'est un peu guimauvien, mais c'est mon trip du moment alors j'affiche les paroles et je chante en même temps que le gars, voilà, ma vie est passionnante.

Salut les gens, achetez vos livres chez Gibert (ou non), lisez La fée carabine et Harry Potter et ce que vous voulez, bonnes vacances à ceux qui en ont et à bientôt !

Ah les premières fois...

Aujourd'hui, le quatre quart.
Il paraît que c'est très simple comme recette... Eh bien voilà ce que ça a donné chez moi :




Ah riez pas, hein attention !! Bon d'abord le gâteau a commencé à gonfler, gonfler, jusqu'à déborder de partout, la moitié de ma pâte est partie dans le lèche-frite, passons.
Le pire c'est que 5 minutes avant la fin du temps réglementaire, l'ensemble tremblait encore comme de la gelée, ce n'était pas cuit du tout, et d'ailleurs 40 minutes après non plus. J'ai fini par arrêter les frais, atterrée que j'étais devant mon oeuvre, vous savez comme j'aime rater les choses.
Cela m'a donc passablement énervée, de toute façon pourquoi s'attacher à l'apparence des gâteaux, dans nos estomacs ils ne ressemblent plus à rien n'est ce pas... Bon si l'on en croit la pub Schweppes, la prochaine fois ce sera mieux, j'essaierai d'être plus patiente et laisserai tout cuire 2 heures, ou bien je prendrai une autre recette :-).

PS : Si vous avez des commentaires ou des anecdotes du style "moi aussi j'ai raté mon premier quatre quart" ou "c'est normal c'est difficile" allez y vous êtes les bienvenus. Sinon, non. :-)

PPS : Il était quand même bon mon gâteau, il n'avait pas trop le goût du quatre quart tel que je me le rappelais, mais mes amis pingouins ont tout mangé, ça allait pas mal avec la fondue au chocolat, hum...

27 juin 2007

Questions existentielles

Je ne sais pas si c'est une régression ou un progrès, mais j'ai enlevé la musique sur le côté, comme ça celle-qui-se-reconnaitra pourra me mettre des commentaires sur tous les messages sans que ça plante le système :-).
En plus il y avait plein de "file error", donc pas de regrets.

A propos de mon précédent message, je me dis que c'est sans doute un peu étrange, voire un peu lâche, d'écrire quelque chose pour (et sur) quelqu'un tout en sachant qu'il ne le lira pas (je ne compte pas envoyer l'adresse de mon blog au listing de la chorale), mais en même temps, ce n'est pas comme si je racontais des horreurs... Je vais peut être l'envoyer à une des filles, après on verra !

Sinon, que raconter, l'autre jour je me suis découvert un cheveu noir, oui noir, ou en tout cas très foncé, ça m'a traumatisée, il n'avait rien à faire sur ma tête... Imaginez un peu quand je me trouverai des cheveux blancs.

Bref sur ce à+ les pingouins (pour ceux qui n'auraient pas suivi c'est un terme tout à fait amical, autant préciser), savez vous que dans 3 jours c'est mon 1/2 anniversaire ??

26 juin 2007

Lettre ouverte à...

Lorsque l'équipe du journal de Viva la Vida a demandé aux nouveaux de s'exprimer sur leurs premières impressions, moi qui avais l'habitude d'aimer écrire tout ce que j'avais sur le coeur, étrangement je ne l'ai pas fait. J'ai laissé passer l'occasion, peut être parce que je ne savais réellement pas quoi vous dire, peut être aussi parce que je ne suis pas capable d'écrire "quelques mots" sans en ajouter des tartines.
Il faut croire que j'avais besoin de temps donc, certainement celui que ça monte au cerveau n'est ce pas, car c'est maintenant que je ne vais pas vous voir pendant 2 mois que j'ai besoin de tout sortir.

Pour raconter ma vie un petit coup je dirais que je n'ai jamais vraiment su ce que je voulais faire de ma vie professionnelle, et même si récemment j'ai commencé à travailler c'est encore assez flou. Alors je voulais vous dire merci parce que je commence à moins m'en faire, parce que j'ai trouvé quelque chose à quoi m'attacher, quelque chose qui me plaît et me tient à coeur, quelque chose à moi en dehors de ma famille, quelque chose que je ne veux pas lâcher. Et au moins je sais une chose, c'est que je veux continuer à chanter avec vous.

J'avoue que certains jeudis je rechigne un peu à venir, je suis fatiguée, j'ai la flemme... Mais je viens quand même, et sur place on commence et je m'émerveille du plaisir qu'on prend à chanter tous ensemble, toutes les voix en harmonie, c'est très cliché de dire que c'est tellement beau, mais c'est tellement vrai, encore plus vécu de l'intérieur.
A la fête de la musique j'ai eu comme une révélation, et même 2 : d'abord tout en moi criait que ça, c'était cool, qu'il faudrait recommencer, et puis ensuite que vous allez me manquer ! Dur de se quitter comme ça, sans une dernière répétition tous ensemble après coup.
Parce que vous faites tous mentir la méchante rumeur comme quoi les Lyonnais seraient froids et inaccueillants. Vous avez l'air de former une grande famille et on a forcément envie d'en faire partie. Je suis encore la petite cousine éloignée qui ne connaît pas bien tout le monde, timide en plus la cousine, mais ça va venir.

Pour finir un mot sur Cathy, eh bien, c'est Cathy, "emmerdeuse comme on n'en fait plus" qu'il paraît, perfectionniste et exigeante ça c'est sûr, et surtout d'un dynamisme, d'une énergie et d'une bonne humeur communicatifs, en répétition comme en concert. On voit son sourire, on suit ses gestes et on a envie de donner le meilleur de ce qu'on a. Merci de nous emmener si loin !

Alors voilà, merci à tous, bonnes vacances, et on se retrouve en septembre !

21 mars 2007

Le printemps ne fait pas les hirondelles

Tiens, mais qu'est ce que... de la grêle ! Ah les giboulées de mars... Mais ce ne sont pas censé [comment ça s'accorde ce truc ?] être des giboulées de pluie ? Bon, soit, de la grêle, on met les plantes à l'abri, et c'est vite passé. Oui mais voilà, quelques heures plus tard, le ciel n'a pas dit son dernier mot : il neige. Et quel jour on est au fait ? Le 19 mars ? Intéressant.

Au début, le réchauffement de la planète c'était plutôt sympa (d'un point de vue strictement égoïste bien sûr) : on a eu de la neige à Noël à Paris, trop la classe, ça faisait longtemps. Après la canicule déjà, c'était moins fun. Et maintenant s'il fait 10°C à 1800m en février et si on doit ressortir l'écharpe et les gants pour fêter le printemps, c'est le monde à l'envers et c'est la fête à la crevette, comme diraient certains (ou quelque chose du même genre).

Bref il fait froid, en plus on a des radiateurs pourris, et je rêve du jour où on aura le chauffage central, ahhh, bah oui, chacun ses rêves :-).
Et sinon, je rêve aussi comme tout le monde d'un monde moins pollué, d'hommes responsables, d'un environnement sain et de saisons rétablies, mais c'est moins drôle à écrire. Parce que si on part là dedans, il y a aussi tant de choses horribles qui se passent, évidemment qu'on rêverait d'un monde parfait, et j'admire ceux qui se battent pour leurs rêvent même s'ils semblent inaccessibles, mais là encore, je ne pense pas que vous venez sur ce blog pour lire ce genre de trucs.
Je rêve aussi de plein d'autres choses, comme... eh stop c'est personnel !! :-)

Dernière chose : j'ai fini mon livre ! Eh oui, ça a été plus vite, à moi le tome 3 maintenant, à finir très vite, pour commencer autre chose, etc, etc...

15 mars 2007

La bibliothèque interdite

Le rythme s'est sensiblement ralenti ces derniers temps, c'est triste je suis en panne d'inspiration, je dois manquer d'un stimulant. C'est un peu comme le ménage, je suis prise de pulsions subites de passer l'aspirateur quand j'ai des choses plus urgentes et encore moins réjouissantes à faire (par exemple : réviser des partiels). Malheureusement pour mon intérieur, je n'ai plus de partiels depuis un certain temps, donc... Mais pas de panique, c'est très propre chez nous, peut être pas grâce à moi, mais c'est très propre.

Bref on s'égare, là où je veux en venir c'est que pendant mon stage, où j'étais censée faire des tas de trucs ultra réjouissants, et où je devais ruser pour trouver une occupation quand ces finalement petits tas de trucs étaient finis, bref quand j'étais coincée devant mon ordi j'avais tout le temps envie d'écrire, tout et n'importe quoi, mon humeur, ma vie, mes week-ends, mon humeur de nouveau, après vérification en 6 mois j'en ai écrit 37 pages word, ce qui nous fait à la louche 6 pages par mois et donc 1 page 1/2 par semaine, bonne moyenne, et il est grand temps que je finisse cette phrase...

Tout ça pour dire que j'aimerais bien écrire plus souvent, mais ça ne vient plus aussi facilement qu'avant, allez savoir pourquoi, peut être que si je travaille vous serez inondés de ma prose, en attendant, eh bien en attendant j'ai fini mon livre tiens, phrase rituelle que je n'avais pas eu l'occasion de dire depuis un moment, mais voilà j'ai enfin fini le tome 1 du Clan des Otori et commencé le tome 2, qui est mieux que le 1, et que je finirai donc plus vite j'espère. Je vous fais grâce du résumé de couverture, j'ai la flemme, et puis si vous lisez le 1, ce ne serait pas très cool.

Conclusion, je devrais me mettre devant mon clavier plus souvent, même quand je n'ai rien à dire j'en écris des tartines c'est alarmant.

Ah au fait mon titre, eh bien, heu, private joke pour ceux qui étaient là dimanche :-). Et puis je trouvais que ça sonnait bien comme titre...

7 mars 2007

Sa signature

Concert de Lynda Lemay samedi dernier, c’était… vraiment très bien, je ne vais pas vous inonder de superlatifs, mais bon voilà, très très bien. En bonne compagnie, bien placés, belles chansons, beau décor, Paris, les lettres rouges…

J’ai moins d’inspiration que la première fois, après le palais des sports. J'en avais écrit preque une page entière, je m’étais même mis dans la tête d’écrire des chansons, mais je me suis vite rendu compte que tronquer mes phrases exprès et faire des rimes, ce n’était pas mon truc, alors j’ai arrêté le désastre :-). J’étais comme ensorcelée, là c’est différent, on dirait que je suis déjà blasée, argh qu’est ce que j’ai écrit là j’espère que non !! J’ai moins pleuré aussi, le torrent qui a débordé il y a 3 ans s’est transformé en quelques petites larmes, mais il y avait beaucoup d’émotion tout de même, et toujours cette envie de chanter en même temps, alors en plus quand elle nous demande elle-même de le faire, on ne va pas se gêner !

Par contre, toutes ces chansons tristes, ça m’a fichue par terre pour un moment, j’en avais plein la tête, toute retournée que j’étais, et je suis peut être maso, mais j’ai quand même envie d’y retourner, un jour, de retrouver cette ambiance… Et si ça ce trouve je ne pleurerai même plus.

Je pourrai aussi me trouver un autre artiste dont je pourrais connaître toutes les chansons, que j’aurais envie d’aller applaudir à tout rompre, un artiste plus festif (bien qu’il y ait eu des moments très drôles et joyeux dans le concert, hein, n’allez pas vous imaginer qu’on a passé 3 heures avec des mouchoirs !)…
Des suggestions ?

27 février 2007

Pour se coucher moins bête ce soir

Au fait, pour ceux qui se poseraient les mêmes questions que moi il y a peu, outre la piste bleue descendant à notre télésiège préféré, une gélinotte c'est aussi ça :



Celle-ci est huppée, si ça a de l'importance.
Remarque, vu qu'elle était entourée de papillon, perdrix et libellule, je ne suis guère étonnée que ce soit un volatile...

Et sinon, très important également, voici une grole :


Et dedans on met du café, de l'eau de vie, des agrumes et du sucre, on flambe, on prend des photos et on boit à tour de rôle, et glou et glou et glou, et là où ça devient compliqué c'est quand on boit à plusieurs, hum... En tout cas c'est très bon, expérience à renouveler !

24 février 2007

Gélinotte et compagnie

Jour 7 : Quoi, c’est déjà fini ??
Ce matin je me réveille naturellement, pas de sonnerie, dans le noir, le jour ne filtre pas, j’ai des images plein la tête, avec l’impression confuse que tout va s’animer, que c’est le calme avant l’effervescence, que ça va se mettre à bouillonner, on va faire coucou les petits, le thé, pain frais, nutella, confiture, cris et rires divers, on se prépare doucement, il fait beau… Mais non, enfin si il fait beau, mais tout reste calme, on est à Lyon, on est 2, on ne crie pas, et on ne mange plus de nutella, parce qu’en dehors des vacances, il paraît que ça fait grossir, pfff…. Vous me manquez tous, je vous aime, et pour ceux qui ne comprennent pas tout, petit retour en arrière…


Jour 0 : 21h30, arrivée dans la neige
Il fait nuit, premiers coucous de la semaine devant le Panoramic, on a un super appart, un super canapé lit dernier cri, on est à la Rosière 1850, demain on va skier, youpi youpi !


Jour 1 : Mise en jambes
Que faire quand l’unique chemin s’offrant à vous est une noire barrée et donc potentiellement dangereuse ? C’est simple, il suffit de faire confiance aux gens qui nous affirment « oui oui, le bout de route rejoint bien une piste rouge ». Ok c’est donc parti pour le bout de route, qui rejoint effectivement une rouge… après avoir traversé un mini précipice parsemé de diverses végétations ! Bon, 500m à remonter en escaliers, ou les minis arbres ? Les minis arbres… On est tous arrivés indemnes sur la rouge, tout va bien.

Que faire quand on se rend compte en s’asseyant sur le télésiège qu’on a laissé un ski sur place ? On cogite pendant l’interminable montée sous un vent gelé, tout en méditant sur le poids d’un ski, le pied gauche étant devenu étrangement léger… et en arrivant, magique, comme une princesse, le télésiège ralentit rien que pour moi qui descend en sautillant, et mon ski arrive royal sur la banquette suivante, un grand merci au personnel des remontées mécaniques de la Rosière, vous êtes super :-).

Que faire quand des tibias habitués à se balancer devant la télé expriment violemment leur colère d’être ainsi broyés dans des chaussures lunaires rigides ? On fantasme sur les chaussures des surfeurs qui ont l’air tellement, mais tellement confortable, de vrais chaussons, ahhh, enfin bref et sinon on prend son mal en patience, et ça marche, au fur et à mesure des jours ça allait mieux, ouf.


Jour 2 : Scuola sci
Grand beau, vent très faible : on part en Italie ! La Thuile nous ouvre ses portes et psychologiquement c’est méga chouette, concrètement c’est pareil qu’en France mais bon ça fait des pistes en plus, on prend des sandwichs au pif dans la carte parce qu’on est nul en italien, on gagne une canette de fanta gratuite (oubliée au pied d’un transat vert face au soleil, ahhhh) et c’est la fête.

Première et dernière chute de la semaine pour moi : skis plantés dans la poudreuse sur un minuscule à côté de pise et plouf, plongeon arrière, c’est froid j’en ai dans le cou, marrant.

Pour se remettre, gratin de crozets le soir, hum, à tomber par terre, vive la montagne, ça nous gagne.


Jour 3 : Crabes et crêpes
Mardi gras, on ressort les vieux bonnets d’enfants, on déguise les petits en crabe (très facile : enfiler des gants taille adulte à un enfant de 1 ou 3 ans, au choix, ça fait des crabes), et le soir on mange des crêpes, ahhhhhhhhhhh je me fais du mal là pour vous à me remémorer tout ça !! Et on en mange tellement, des crêpes, qu’on refait de la pâte en cours de route, et on remange tout, vive la montagne bis.

Niveau neige, toujours grand beau, on va manger dans la poudreuse italienne très accueillante, ma sœur ramène un souvenir : un BN en neige, coolissime, et moi je fais ma trace dans la poudreuse, je me vautre en arrière et le résultat : un mini rond pour la tête, 2 petits bras et un truc énorme en dessous, ridicule, mais drôle, si si !


Jour 4 : Journée en amoureux
Ski à 2, photos, piste-balade au milieu des sapins, et le soir, début de coup de barre, c’est fatigant le ski mine de rien...

En rentrant « plongée sous marine », comprendre le bain des petits, que j’ai eu l’immense honneur de superviser, et les petits ça aime l’eau, surtout quand il y en a partout, bref, moment fort sympathique et euh, mouillé :-).

Un peu plus tard, c’est l’heure du repas, et là, quel est le synonyme de 1h30 de calme ? Pinocchio le robot ! Captivant apparemment ce truc, en tout cas les petits comme certains grands se sont mis en brochette sur le canapé et on ne les a plus entendus de la soirée, c’était très mignon !


Jour 5 : Panoramic power
Comment skier en arrière sans regarder en arrière ? C’est simple, il suffit de faire confiance à sa sœur ! Les skis dans les skis, nous avons donc réussi je ne sais comment à faire 1 virage avant de nous arrêter miraculeusement juste quand ça devenait assez pentu, expérience intéressante, à limiter aux pistes vertes de préférence !

C’est statistique, à la montagne on fait son repas amélioré le jeudi, et donc, aujourd’hui, raclette party ! A 15 en comptant le chien et les 2 petits, on a englouti de la raclette fumée, fermière, nature, même combat, en quantité industrielle, et on a terminé la soirée avec LA GROLE !! Il est des nô-ôtres, etc, on s’en met partout, on chante, comment ça on est tous bourrés ?!? Mais non…


Jour 6 : On reste zen...
Dernier jour, on retente le ski en arrière pour faire comme John le moniteur en vert fluo, on ne tombe même pas, on dit au revoir à nos skis bien aimés, nos chaussures moulées à nos mollets et on s’envoie quelques glaçons dans le cou pour faire bonne figure, on essaye de penser à autre chose en faisant son sac et il ne reste plus qu’à faire du pain perdu avec les 48 baguettes qui restent (bon d’accord j’exagère), ce fut très bon, on dit aussi au revoir à la piscine à laver qui fait des bulles (eh oui il y avait un jacuzzi dans la résidence, ahhhhh), et voilà, maintenant comme à la fin d’un concert on se lève et on crie « encore, encore », mais faudra attendre un peu, heureusement qu’il y aura tout plein de choses en attendant, Pâques par exemple, tiens mais c’est dans pas longtemps d’ailleurs, alors haut les cœurs :-).

12 février 2007

Régime mammouth

Dans la série "on trouve de tout sur internet", voici le régime selon son groupe sanguin...
Etant O je vous donne cet exemple et vous épargnerai les autres, mais si besoin je peux les retrouver...


Donc voilà :

"
Il y a environ cinq ans, des recherches génétiques ont révélé la relation entre le groupe sanguin et la nutrition, donc la qualité du métabolisme. Selon l'appartenance à un groupe sanguin, on ne doit pas manger la même chose.
Les 4 groupes sanguins ne seraient pas apparus sur terre à la même période : le groupe O remonterait à 50.000 ans avant JC puis est apparu le groupe A suivi du groupe B et enfin le groupe AB en 900 après JC. On l'aura compris, chaque groupe a une alimentation adaptée à sa période d'apparition.

Groupe O comme "Origine"
Le groupe O est le groupe sanguin le plus ancien (environ 40 000 ans av J.C.). La plupart des premiers hommes appartenaient tous au groupe O, et vivaient de la chasse (insectes, animaux), de la cueillette (baies, racines, feuilles).
Pour les personnes du groupe sanguin O le mode de vie idéal associe une alimentation hyperprotéinée à une activité physique intensive.
Les individus du groupe O supportent mal les laitages et les céréales car leur appareil digestif n'est pas adapté à "ces nouveaux aliments"."

Je sais donc maintenant pourquoi je digère mal le lait : j'ai un organisme préhistorique apparu avant les vaches laitières, et le lait de mammouth, ça ne devait pas être top. Je vais donc envoyer mon homme attraper des insectes et cueillir des racines, on fera une super tambouille avec et vous serez tous invités :-).

Ah et il faut que je fasse du sport aussi, intensivement en plus, mince alors, quelle idée.

A noter qu'après on a les groupes A comme agriculture et B comme barbares, je suis bien contente d'être O en fait... Reste AB comme modernité, oui oui, mais ils sont rares les hommes modernes, globalement on est tous des inadaptés au monde actuel, eh ben dis donc, on en apprend des choses :-).

A+ bande de dinosaures !

7 février 2007

Dans l'air du temps

Hier grande mésaventure : après intense réflexion (c'est dur pour mon petit cerveau d'enclencher le déclic "prise de décision") nous somme allés gaiement au comptoir adhésion de la fnac, pour devenir de nouveaux gentils membres, et c'est moi qui devait m'abonner parce qu'ayant moins de 26 ans, c'est moins cher (youpi). Seulement voilà, saviez vous qu'on ne peut pas obtenir de carte fnac si on est marié et qu'on a encore son nom de jeune fille sur ses papiers ?? Eh ben maintenant vous savez :-).
Je n'avais pas du tout pensé que ça poserait problème, depuis 6 mois je mets au choix un des 2 noms quand on me le demande, un peu selon mon humeur, un peu selon que j'aurai à l'épeler ou non... Bref je vais donc sûrement faire ce que j'aurais dû faire plus tôt : aller refaire ma carte d'identité et mettre les 2 noms dessus, et comme ça je serai encore plus officiellement et pour tous une madame :-).


Aujourd'hui grande aventure : munie de mon livret de famille pour preuve de mon engagement, je vais retourner à la fnac, m'inscrire et m'acheter dans la foulée un joli petit lecteur MP3 ! Eh oui, j'ai succombé moi aussi, je me mets à la page, je saute le pas, etc., et je pourrai emmener ma musique en vacances, coolissime !!


A part ça expérience extraterrestre : ce week-end nous sommes montés à Fourvière A PIED ! Pire qu'un phare, j'ai cru que ces marches ne s'arrêteraient jamais, mais en fait après un laps de temps interminable si, et donc conclusion, je ne me ferai pas avoir 2 fois, chat échaudé craint l'eau froide n'est ce pas.


Et pour finir : cette adresse n'est plus confidentielle, si vous voulez en parler vous pouvez :-).
Et vous avez vu que j'ai mis un compteur, alors faites le grimper ! Merci :-).

6 février 2007

Le Silence du Rossignol

Pour rattraper le temps perdu il faudrait que j'écrive un message sur mes lectures préférées (mis à part le programme télé), mais je ferai ça quand j'aurai ces quelques livres entre les mains.

En attendant là tout de suite je peux vous parler de mes lectures en cours. Eh oui, "mes", j'ai tendance à en commencer plusieurs en même temps, si si, je m'y retrouve !
La dernière en date, c'est
Le Clan des Otori, 1, Le Silence du Rossignol, de Lian Hearn (370 pages).
C'est ma chère soeur qui me l'a conseillé, et je vous le conseillerai sûrement quand j'aurai fini les 3 tomes, mais vu la vitesse à laquelle je lis actuellemnt, je n'ai pas fini de patiner dans le premier, donc, patience... que je n'ai pas :-). Je vous mets le résumé au dos, qui comme d'hab parle de trucs qui n'arrivent pas avant la page 200 :

Au XIVème siècle, dans un Japon médiéval mythique, le jeune Takeo grandit au sein d'une communauté paisible qui condamne la violence, mais elle est massacrée par les hommes d'Iida, chef du clan des Tohan. Takeo, sauvé par sire Shigeru, du Clan des Otori, se trouve plongé au coeur de luttes sanglantes entre les seigneurs de la guerre. Il doit suivre son destin. Mais qui est-il ? Paysan, seigneur ou assassin ? D'où tient-il ses dons prodigieux ? Lorsqu'il rencontre la belle Kaede, un amour fou naît entre les deux jeunes gens : devra-t-il choisir entre cet amour, sa dévotion à sire Shigeru et son désir de vengeance ? Sa quête le mènera jusqu'à la forteresse d'Inuyama, lorsqu'il marchera sur le "parquet du Rossignol". Cette nuit-là, le rossignol chantera-t-il ?

Voilà voilà, au début la "belle Kaede" est un peu pénible mais elle devient plus sympathique après, pas de panique, même si son coup de foudre est très légèrement surdosé, du genre elle l'entraperçoit de loin et elle a un accès de fièvre, mais bon c'est bien écrit, avec des histoires de guerre, d'amour, de supers pouvoirs (mais c'est pas Superman quand même), et je vais m'y remettre tiens :-).

5 février 2007

Arrivage permanent

Ajout de musique aujourd'hui, et vous avez vu l'heure (du message, regardez pas votre montre) ? Chose assez incroyable pour être soulignée, il est moins de 11h et je n'ai pas sommeil... Donc je m'éclate à vous mettre des tas de petits liens radio sympathiques, d'ailleurs ce ne sont même pas des liens, enfin bref voilà, si vous avez des chansons fétiches que vous rêveriez d'écouter en lisant ma non moins fétiche prose, dites moi, je verrai ce que je peux faire :-).

Vous pouvez également voir que je n'ai pas beaucoup de liens dans les liens amis (gare au premier qui dit que c'est parce que je n'ai pas d'amis), donc si vous avez des suggestions, pareil, dites moi.

Bonne journée et à très bientôt !

PS : en fait si, grâce aux points d'interrogation, ce sont effectivement des liens :-)

4 février 2007

Et puis la lune, et puis le miel...

C'est la pause week-end, alors pas de long roman aujourd'hui... Je voulais juste dire que ça y est, j'ai mon CD compil de Lynda Lemay et il tourne en ce moment même... Non je ne vais pas pleurer !! Je craquerai peut être au concert, je vais essayer de me retenir jusque là :-).

2 février 2007

Et si on s'énervait un peu ?

Bon pas tant que ça, hein, mais puisque c'est un sujet sensible pour moi, autant faire une petite mise au point tout de suite... Je ne pense pas m'énerver très souvent (ça en fera peut être sourire certains, tant pis :-) ), mais s'il y a un truc que je n'aime pas, c'est qu'on critique sans raison, par exemple : Paris, les blondes... (on se demande d'ailleurs pourquoi ces 2 sujets là me touchent particulièrement, hum hum)

Vous avez remarqué comme le mot "blonde" est pratiquement passé dans le langage commun en synonyme de "stupide" ? C'est ridicule, et ça fait glousser les brunes qui le disent quand elles s'aperçoivent qu'il y a une blonde à côté (par exemple : moi) et là pour le coup, on se demande qui a l'air bête. Bref tout ça parce que des brunes ont un jour eu l'idée de se passer la tête à la javel, maintenant être née blonde c'est comme être né Belge ou être parisien, on a plein de préjugés sur le dos...
Alors imaginez être née blonde ET parisienne, qu'est ce que j'en entends, et je ne sais pas si c'est par susceptibilité, mais j'ai l'ouïe fine pour ce genre de choses. Enfin comme dirait ma grand-mère, mieux vaut entendre ça que d'être sourde.

Pour Paris, je vais quand même pousser mon petit coup de gueule habituel, et promis après je vous laisse tranquille. Déjà "province" n’est PAS un terme négatif, ni injurieux, ni discriminant, il est tout simplement expliqué ainsi dans le petit Larousse : « ensemble de la France à l’exception de Paris et sa banlieue ». Provincial, d’accord, ça pouvait avoir un côté péjoratif, dit d’une certaine manière par certaines personnes, mais surtout il y a des années, maintenant les choses ont évoluées et il serait temps que les mentalités suivent.
Alors amis de province, arrêtez de vous sentir persécutés, si vous avez quelque chose contre la langue française, essayez de voir si c’est mieux dans d’autres langues, mais ne vous en prenez pas aux parisiens !
C’est vrai ça, pourquoi tant de haine, de préjugés, de clichés et de mépris ? Depuis que j’ai quitté Paris (à regret), des remarques cinglantes j’en ai entendues et je commence à en avoir ma claque. Beaucoup n’ont jamais mis les pieds à Paris, mais (ou encore mieux, parce que) ils n’aiment pas Paris. Ils n’ont jamais connu de parisien (ou ils en ont croisé un, une fois), et ils n’aiment pas les parisiens.
Pourquoi ? Nous serions une espèce de vilaine herbe prétentieuse et inculte persuadée d’être seule au monde, qu’en dehors de Paris c’est des champs, bref, du concentré de mépris. Ah.
Désolé mais nous avons les mêmes livres de géographie que vous à l’école, et les petits parisiens apprennent qu’il y a un peu partout en France d’autres villes, même de très grandes, waouh, et oui ils savent à quoi ressemble une vache, et non ils ne pensent pas que les poissons naissent rectangulaires et jaunes, chez Picard… Quand j’entends ça, je me demande de quel côté est le mépris !
Certes il y a des cons à Paris, comme il y en a partout, aussi bien en ville que dans un petit bled inconnu, mas il y a aussi un tas de gens très bien, qui ne méritent pas les regards méfiants et les grimaces style « oh ma pauvre » quand ils donnent leur origine. Merci pour eux.

Voilà, fini !
Qu'en penses-tu mon pingouin star ?

1 février 2007

Quelle joie de tenir un journal

Salut salut,
aujourd'hui en grande mégalomane que je suis je vais vous envoyer des citations... de moi. Mais je ne vais pas pousser le vice jusqu'à les mettre en retrait et tout, quand même ce serait abuser.
Ce sont des petites choses que j'ai écrites au milieu de longs paragraphes insipides qui ne font rire que moi (en même temps il n'y a que moi qui les lis, hum) pendant de longs moments d'oisiveté il y a quelques années de ça, et qui prouvent oh (ô ?) combien j'aime ce rythme insensé de travail, 5 jours pour seulement 2 de week-end, ah là là... A préciser qu'à ce moment là, mon mari n'était pas encore mon mari, on ne bossait pas dans la même ville, on ne se voyait que le week-end entre 2 quais de gare, la misère quoi.
Alors voilà :

J’ai beau me persuader tous les vendredis qu’avec l’arrivée du train c’est l’éternité qui commence, dimanche elle est déjà finie et c’est con mais ça fait mal.

Télérama pense que « Les demoiselles de Rochefort » c’est le comble de la félicité absolue, mais moi je pense qu’ils se trompent, c’est le vendredi soir…

Un autre petit truc observé dans le métro parisien, que j'avais noté dans ces fameux longs paragraphes :

Petite remarque en passant à propos des gens dans les transports en commun (métro, bus…) : ce ne sont pas les mêmes à 7h30 et à 8h30. Au delà de cette évidence (on ne fait pas le même trajet à 1h d’intervalle), ceux de 8h30 sont des gens qui vont au boulot : ils sont pomponnés, limite stressés et pressés, ils n’ont pas forcément une mine réjouie. On les comprend. N’empêche ils ont pas des têtes très agréables. À 7h30 probable qu’ils vont au boulot aussi, mais ça se lit moins sur leur visage. Ce qui se voit c’est qu’une invention bruyante et pourrie (le réveil) les a tirés de leurs lits, et qu’ils s’y voient encore. C’est la lutte pour garder les yeux ouverts, les zombies du matin qui prennent le métro comme des automates. Moi quelle que soit l’heure, du moment que je viens de me lever, je suis une 7h30.

Voilà maintenant vous me connaissez un peu mieux : le week-end c'est la fête et le matin j'hiberne.

La suite plus tard, un jour, bisous à mes pingouins préférés.

31 janvier 2007

Parce qu'il faut un début à tout...

« C’était l’hiver sur Belleville et il y avait cinq personnes. Six, en comptant la plaque de verglas. Sept, même, avec le chien qui avait accompagné le Petit à la boulangerie. Un chien épileptique, sa langue pendait sur le côté. »
Je ne vais pas vous recopier La fée carabine de Daniel Pennac, non non, je me contenterai de vous recommander ce bouquin jusqu'à ce que tout le monde l'ait lu, je cherchais juste un moyen de commencer ce blog de manière un peu moins tarte que "bonjour à tous"... et ben raté je l'ai dit quand même :-).
A part ça si quelqu'un passe par là je ne peux pas vous promettre des récits de voyage, ni des recettes de cuisine (quoi que, des fois, peut être), je ne sais pas encore bien ce que je vais raconter, ni à quelle fréquence, ni si je ne vais pas parler dans le vide et finir par arrêter... Mais là aujourd'hui j'ai eu envie de me lancer, alors on verra bien !
C'est marrant, parce qu'il y a quelques années, quand tout ça a commencé, je trouvais totalement stupide de raconter sa vie sur internet. Alors soit je suis devenue stupide (?), soit je me suis dit que finalement, moi qui aime bien écrire, ben pourquoi pas, c'est un peu comme une bouteille à la mer, sauf que je n'envoie pas de SOS, et même si je ne suis lue que par deux pingouins, si je peux amuser ces deux pingouins là, je serai heureuse :-).
à bientôt donc, pour ce qui me passera par la tête, et peut être qu'un jour quand je serai très connue on me demandera
« la suite, bordel, LA SUITE ! »
(devinez donc pour la citation, c'est pas dur !)