6 février 2007

Le Silence du Rossignol

Pour rattraper le temps perdu il faudrait que j'écrive un message sur mes lectures préférées (mis à part le programme télé), mais je ferai ça quand j'aurai ces quelques livres entre les mains.

En attendant là tout de suite je peux vous parler de mes lectures en cours. Eh oui, "mes", j'ai tendance à en commencer plusieurs en même temps, si si, je m'y retrouve !
La dernière en date, c'est
Le Clan des Otori, 1, Le Silence du Rossignol, de Lian Hearn (370 pages).
C'est ma chère soeur qui me l'a conseillé, et je vous le conseillerai sûrement quand j'aurai fini les 3 tomes, mais vu la vitesse à laquelle je lis actuellemnt, je n'ai pas fini de patiner dans le premier, donc, patience... que je n'ai pas :-). Je vous mets le résumé au dos, qui comme d'hab parle de trucs qui n'arrivent pas avant la page 200 :

Au XIVème siècle, dans un Japon médiéval mythique, le jeune Takeo grandit au sein d'une communauté paisible qui condamne la violence, mais elle est massacrée par les hommes d'Iida, chef du clan des Tohan. Takeo, sauvé par sire Shigeru, du Clan des Otori, se trouve plongé au coeur de luttes sanglantes entre les seigneurs de la guerre. Il doit suivre son destin. Mais qui est-il ? Paysan, seigneur ou assassin ? D'où tient-il ses dons prodigieux ? Lorsqu'il rencontre la belle Kaede, un amour fou naît entre les deux jeunes gens : devra-t-il choisir entre cet amour, sa dévotion à sire Shigeru et son désir de vengeance ? Sa quête le mènera jusqu'à la forteresse d'Inuyama, lorsqu'il marchera sur le "parquet du Rossignol". Cette nuit-là, le rossignol chantera-t-il ?

Voilà voilà, au début la "belle Kaede" est un peu pénible mais elle devient plus sympathique après, pas de panique, même si son coup de foudre est très légèrement surdosé, du genre elle l'entraperçoit de loin et elle a un accès de fièvre, mais bon c'est bien écrit, avec des histoires de guerre, d'amour, de supers pouvoirs (mais c'est pas Superman quand même), et je vais m'y remettre tiens :-).

2 commentaires:

Anonyme a dit…

Je préfère Astérix car cela commence toujours par : toute la Gaule est occupée, toute, non... un petit village d'irréductibles gaulois résiste encore et toujours à l'envahisseur, bla bla bla et c'est rigolo et facile à lire, instructif, bla bla bla. Ne te moque pas, je t'entends d'ici.

Tiens je devrais faire un journal en ligne ou je raconterais de manière textuelle les aventures d'Astérix revues et corrigées par un pingouin :

" Toute la banquise est occupée, toute, non... un petit iceberg d'irréductibles pingouins résiste encore et toujours à l'envahisseur, bla bla bla "

Les personnages : Astériz, Obéliz, Idéfiz, Panoramiz, Abraracourciz, Chantemaliz, et le grand méchant : le pingouin Empereur Cesarglissesurlabanquiz "

La suite dans mon journal en ligne.

Anonyme a dit…

Encore un commentaire qui n'a rien à voir avec le titre : " le silence du chose ".

Quoique, c'est sous-entendu pour que je me taise. Non ?

Que penses-tu de mon idée des aventures d'Astériz ? Peut être que je peux inclure Ficelliz sauvé par Idéfiz.